Merci Monsieur le Président

Voilà donc, déjà, le premier anniversaire de ces humeurs mauvaises. Une trentaine de chroniques qui n’auraient sans doute pas existées sans Lui. Car si l’on essaie de tirer le bilan de cette année passée, qui avons nous croisé tout au long de ces billets ? Un sinistre ministre de l’intérieur, un gauchiste Jauressien, un bonimenteur habile, un grand amateur éclairé de culture populaire, un vendeur d’aspirations plus ou moins honorables, un vainqueur du premier tour, un vainqueur du second tour, un amateur de restaurants chics, de chanteurs démodés et de comiques lourdauds,  un coureur de fond, un coureur de Fillon, un coureur de fions, un importateur de talents, un exportateur de pauvreté, un accro à l’acide,  un mari éconduit, le nain préféré de blanche neige,  Ils n’y étaient pas mais auraient pu y trouver aussi une place : le chanoine intoxiqué aux SMS, le fou de Dieu, le représentant en centrales nucléaires, le sous Tony Montana, l’ado attardé, au langage relâché, toujours béat de rencontrer tout un tas de potes en leur tapant sur l’épaule et en frimant un max avec son nouveau portable…

Evidemment, ce personnage « pluriel » n’était pas seul, Il en a croisé d’autres : des célèbres, des ex-célèbres, des inconnus, des riches, des pauvres. Mais tous ceux-là, finalement, ne s’incarnaient-ils pas que par son existence à Lui ? Qu’auraient été Bayrou et Royal sans Lui ? Clara, Cécilia, Mireille Mathieu, … et l’auteur de ces lignes ?

Alors un grand merci à notre hyper-chanoine, de nous avoir fourni tant d’inspiration. Et un grand merci, surtout, pour le cadeau qu’Il nous a offert en cette date anniversaire : son passage sous la côte des 50% de satisfaits.